Palais des Archevêques. Passage de l’Ancre. Narbonne.
Le jeudi matin, une petite partie de la place de l’Hôtel de ville est réservée au seul « marché aux fleurs » ; l’alimentaire et celui de plein vent sont un peu plus loin : sur les deux « rives » de la Robine. Si le ciel est tristement nuageux, l’air est toutefois agréable : ni chaud, ni froid. Une ambiance de septembre : un peu romantique.
Dans une opération « commando » parfaitement menée et réussie, Didier Codorniou a été élu président du Parc Naturel Régional de la Narbonnaise, contre Bernard Devic, le président sortant, maire de Caves.
C’est un bâtiment flambant neuf. Il occupe la plus grande partie du pôle Santé d’une zone d’activités. Le parking est vaste. On y circule aisément et les places sont nombreuses. Sur le côté gauche de l’allée qui mène à l’entrée de cette annexe de l’hôpital, une succession de petites pergolas, dans le style « moderne », nues.
L’écriture inclusive est décidément illisible, moche et totalement hermétique, me disais-je, en lisant, si on veut !, de mauvais poil, quelques publications de « jeunes gens » parues dans la presse locale et les réseaux sociaux ;
Maryse Arditi, la présidente d’Eccla, a raison de s’indigner publiquement à la vue d’un « parking » à même la plage des Mateilles bourré de véhicules automobiles comme j’ai pu le constater encore en cet été 2020. J’avoue avoir la même réaction quand, longeant régulièrement cette plage, ma vue accroche ce qui ressemble à ces immenses espaces où attendent d’être livrées, à la sortie des usines, des milliers d’engins à moteur.