Chronique de Narbonne: Pourquoi Codorniou rejoint les « radicaux de gauche » et Baylet…

PHOTO ROGER GARCIA DIDIER CODORNIOU MAIRE DE GRUISSAN PASSE AU PRG

Le 4 septembre, j’écrivais ceci :

« Fin de partie pour Codorniou ! Acculé dans ses « vingt-deux », face à ce qu’il appelle « ceux de Solférino » décidés à en finir avec l’ère Frêche et ses soutiens; bénéficiant du seul appui – équivoque… – de Navarro et de quelques voix de droite, et sans appareil partisan pour l’imposer, il rejoint les défenseurs de la candidature du sénateur Alary à la présidence de la Région …

Valls2: le gouvernement de la clarification politique !

UnknownImpeccable analyse de Laurent de Boissieu présentée dans son blog iPolitique sous le titre: « Clarification politique? » (31 août 2014). Reproduite ici in-extenso, les lecteurs de contre-regard.com ne seront pas surpris de constater une évidente convergence d’arguments avec  ceux développés dans mes billets des derniers jours consacrés au même sujet.

Chronique de Narbonne : Au Grand Narbonne, l’ouverture de Bascou vers Didier Mouly est en sursis !

Unknown-1Ce matin, je faisais état de « l’ouverture » faite par Jacques Bascou à Didier Mouly , il est 19heures 30 et je sors du Conseil Communautaire du Grand Narbonne. Constat: le groupe de Mouly a voté contre l’élargissement du Bureau exécutif aux Présidents des Commissions, pourtant approuvé par une large majorité du Conseil Communautaire.

La gauche a-t-elle abandonné la France périurbaine? Une note de Terra Nova.

Unknown-2Après le géographe Christophe Guilluy, la Fondation Terra Nova publie à son tour une note sur cette France «périphérique» qui attire, souvent malgré elle, les catégories populaires. Entretien dans le Figaro (abonnés)

Au croisement de la politique, de l’économie, de la géographie et de la sociologie, la France périurbaine est devenu un sujet d’étude. Après avoir soulevé cette question au grand public avec Fractures françaises (2010), le géographe Christophe Guilluy a relancé le débat en publiant La France périphériqueComment on a sacrifié les classes populaires. Dans cette controverse, la gauche fait figure d’accusée. Notamment en raison d’une note d’analyse électorale publiée en 2012 par la Fondation Terra Nova, un think-tank proche du PS. Le Figaro donne aujourd’hui la parole à la défense. Terra Nova publie à son tour une note sur le sujet, rédigée par Pierre Musseau (lire l’intégralité de la note sur www.tnova.fr ). Directeur général de Terra Nova, Thierry Pech s’explique. Et reconnaît que ce fut «une erreur» de considérer que l’électorat populaire fut un électorat perdu pour la gauche