« Fin de partie pour Codorniou ! Acculé dans ses « vingt-deux », face à ce qu’il appelle « ceux de Solférino » décidés à en finir avec l’ère Frêche et ses soutiens; bénéficiant du seul appui – équivoque… – de Navarro et de quelques voix de droite, et sans appareil partisan pour l’imposer, il rejoint les défenseurs de la candidature du sénateur Alary à la présidence de la Région …
Impeccable analyse de Laurent de Boissieu présentée dans son blog iPolitiquesous le titre: « Clarification politique? » (31 août 2014). Reproduite ici in-extenso, les lecteurs decontre-regard.com ne seront pas surpris de constater une évidente convergence d’arguments avec ceux développés dans mes billets des derniers jours consacrés au même sujet.
Rocard! qui conseille à Hollande de ne pas se représenter en 2017; Aubry! qui fustige le social-libéralisme du couple exécutif; Hamon! qui dit de ce gouvernement qu’il « menacerait la République »;
Ce matin, je faisais état de « l’ouverture » faite par Jacques Bascou à Didier Mouly , il est 19heures 30 et je sors du Conseil Communautaire du Grand Narbonne. Constat: le groupe de Mouly a voté contre l’élargissement du Bureau exécutif aux Présidents des Commissions, pourtant approuvé par une large majorité du Conseil Communautaire.
Après le géographe Christophe Guilluy, la Fondation Terra Nova publie à son tour une note sur cette France «périphérique» qui attire, souvent malgré elle, les catégories populaires. Entretien dans le Figaro (abonnés)
Au croisement de la politique, de l’économie, de la géographie et de la sociologie, la France périurbaine est devenu un sujet d’étude. Après avoir soulevé cette question au grand public avec Fractures françaises (2010), le géographe Christophe Guilluya relancé le débat en publiant La France périphérique. Comment on a sacrifié les classes populaires. Dans cette controverse, la gauche fait figure d’accusée. Notamment en raison d’une note d’analyse électorale publiée en 2012 par la Fondation Terra Nova, un think-tank proche du PS. Le Figaro donne aujourd’hui la parole à la défense. Terra Nova publie à son tour une note sur le sujet, rédigée par Pierre Musseau (lire l’intégralité de la note surwww.tnova.fr). Directeur général de Terra Nova, Thierry Pechs’explique. Et reconnaît que ce fut «une erreur» de considérer que l’électorat populaire fut un électorat perdu pour la gauche