Chronique de Narbonne. L’octroi réinventé!

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La voirie urbaine de Narbonne est dans un mauvais état. Un spécialiste de ces questions évalue à 3 millions d’euros par an sa réfection, trottoirs compris. Un coût d’entretien élevé, en effet, qui le serait moins, pour ne pas dire nul, si l’on n’y circulait qu’à pied, vélos ou trottinettes. Ou si l’on demandait aux conducteurs de voitures, camions et Bus de s’acquitter d’un droit de  circulation. C’est la bonne idée que vient de trouver Didier Mouly. Il paraît qu’une missive, par lui rédigée,  a été adressée à Jacques Bascou, responsable du réseau de transport public, dans laquelle il lui demanderait 500 000 euros en raison de l’action destructrice de ses Bus et de leurs pneus sur ses chaussées. Il fallait l’inventer celle-là…  L’octroi, en quelque sorte, ressuscité. Imaginez notre petite cité avec des barrières et des « percepteurs » à toutes ses entrées prélevant une dîme de circulation sur tous les véhicules à moteur… Ce qui serait après tout normal, au nom de l’intangible principe républicain de l’égalité de traitement devant l’impôt.  Dans notre Ville, il n’y a pas de pétrole, mais nos édiles ont des idées …

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Commentaires (1)

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    fred11

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    que dire …… rien finalement, il vaut mieux

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