Deux euros pour, dans ces temps bien tristes, partager l’humour de ce doux anarchiste des lettres.

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Quatrième de couverture : « Lafleur est un peintre au talent extraordinaire. Non que ses tableaux soient d’une qualité artistique hors du commun, mais ils ont la faculté de rassasier ceux qui les regardent. Comme s’ils venaient d’avaler un bon pâté en croûte ou une crème au chocolat! Un tel don ne peut laisser longtemps indifférents journalistes et marchands d’art… »

Son incipit : « À Montmartre, dans un atelier de la Rue Saint-Vincent, demeurait un peintre dénommé Lafleur, qui travaillait avec amour, acharnement, probité. Lorsqu’il eut atteint l’âge de trente-cinq ans, sa peinture était devenu si riche, si sensible, si fraîche, si solide, qu’elle constituait une véritable nourriture et non pas seulement pour l’esprit, mais aussi bien pour le corps. »

Dans cette savoureuse nouvelle, Marcel Aymé décrit avec humour et ironie le milieu de l’art, où qu’il se trouve. À Paris où dans ma petite ville, qui toujours se veut grande. Dans les pages qui suivent, chacun pourra retrouver ces tics de langages propres à certains milieux « intellectuels » qui prétendent incarner le bon et juste goût artistique. Ces lignes ont été écrites en 1947. Elles n’ont pas pris une ride. Deux euros pour, dans ces temps bien tristes, partager l’humour de ce doux anarchiste des lettres. Un régal de lecture !

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