Qui langue a, à Rome va.

 

La langue lui démangeait d’avoir du la tourner tant de fois dans sa bouche.Il la tenait si bien aussi qu’un bœuf semblait s’y être posé. L’avalant pour ne pas la perdre dans un monde où ses coups assassinent, la gardant aussi pour ne point la mordre. Oeil hardi et langue dorée, de la tirer, il s’est enfin décidé. Dorée et bien pendue, et non plus dans sa poche, pour dire à son Mentor qu’il ne le fut jamais.Qui langue a, à Rome va…

Rétrolien depuis votre site.

Laisser un commentaire

Articles récents