Ce texte de Laurent Bouvet, Professeur de sciences politiques à l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, je ne l’avais pas lu avant de publier ce matin mon billet rédigé hier soir, sur le même sujet. évidemment , ni le ton, ni l’argumentaire ni la forme ne peuvent se confondre, mais ils partent néanmoins des mêmes prémisses pour aboutir à la même conclusion. Je le livre ici dans son intégralité:
Le temps de la communication politique, et ses effets, est de courte durée. Il nous était promis un discours de François Hollande sur l’immigration « structurant » et nous avons eu droit à une enfilade de poncifs enrobés de vagues considérations humanistes. Des voeux pieux que personne, de bonne foi républicaine ou pas, ne peut pas ne pas faire siennes – dans un monde idéal, assurément! Et déjà effacés tant l’évanescence du propos flottait à des années lumières des préoccupations et des inquiétudes des français – « trop de nos concitoyens se considèrent encore comme des étrangers » et« trop de nos compatriotes ont le sentiment de ne plus être chez eux ».
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