C’était un soir d’octobre 2011. Chez lui ? Peut-être ! Je ne m’en souviens pas. Mais de cette histoire qu’il m’a raconté autour d’une bouteille de « Fino », j’en ai retenu précisément ceci. Il revenait donc de Séville; c’était le mois dernier. Il y était allé chercher des carreaux faïencés dans le quartier de Triana. Les seuls concevables à ses yeux pour le banc « andalou » qu’il avait décidé de construire sur sa terrasse. Sur la route, l’inspiration le prit soudain de s’arrêter à Barcelone où devait se tenir la dernière corrida de l’histoire de la Catalogne.