Je suis devant le clavier de mon ordinateur et ne sais par quels mots exprimer de sang froid ma colère. Le pays souffre et compte ses morts, victimes innocentes d’un terrorisme aveugle à toute humanité et d’un virus indifférent à toute sociabilité.
C’est un bâtiment flambant neuf. Il occupe la plus grande partie du pôle Santé d’une zone d’activités. Le parking est vaste. On y circule aisément et les places sont nombreuses. Sur le côté gauche de l’allée qui mène à l’entrée de cette annexe de l’hôpital, une succession de petites pergolas, dans le style « moderne », nues.
Pour la première fois depuis de longues semaines, j’ai pu traverser le jardin de la Révolution qui jusqu’ici était fermé au public, pour les raisons que l’on sait. Comme d’habitude je suis allé directement à la « boîte à livres » pour y jeter un rapide coup d’oeil.
Quelques jours après que j’eus appris le décès de Gérard Calvet, m’étonnant de ne pas trouver trace dans la presse régionale d’un hommage à son oeuvre et à sa personne, j’écrivis, ceci (le 3 avril 2017) : « Gérard Calvet, un peintre de mes amis — malgré notre grande différence d’âge — est mort. Son sourire, son regard malicieux vont nous manquer ! Il était né en 1926 à Conilhac-Corbières dans l’Aude ; et après des études secondaires au Lycée de Carcassonne, il est « monté » à Paris, en 1945, pour entrer à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, dans l’atelier de Eugène Narbonne où il fut particulièrement impressionné par l’art vigoureux et incisif de Bernard Buffet.
Voilà c’est fait ! La plate-forme entre le PS et le PCF, surtout, et les Verts de EELV, Nouvelle Donne, J’aime Narbonne et le MCN (Mouvement Citoyen Narbonnais), dont j’évoquais la signature prochaine dans mon billet du 5 septembre a fait l’objet d’une présentation à la presse et à ses lecteurs (succinte : le préambule seulement), par ses dirigeants ce samedi 7. Qu’en dire, en « trois mots » ?
Ma.27.3.2024 Dimanche au cinéma (Théâtre+Cinéma Scène nationale Grand Narbonne) « Laissez-moi » de Maxime Rappaz, avec Jeanne Balibar, Thomas Sarbacher, Pierre-Antoine Dubay. Un train au cœur de la […]
Di.25.3.2024 « Les hirondelles buvaient déjà au lavoir et happaient les éphémères, quand ma « compagnie » s’en alla. L’air avait son goût usagé d’après-midi, et la chaleur était grande sous le soleil […]