On n’a jamais le dernier mot avec une page …
Passer une heure à écrire un billet. Le relire, corriger les fautes d’orthographe et d’accord ; chasser les clichés… Le publier. Puis sortir ; marcher à l’estime, sans plan ! En route, brusquement, la nette impression d’une tâche. Irrité, où je peux, relecture de ce texte sur mon smarphone. Elle me saute aux yeux. Correction, comme je peux. Beaucoup plus tard, je reçois un message : un ami me signale une coquille. J’enrage, l’enlève – la coquille – , relis le tout ; et bute sur une phrase. Bancale ! Que faire ? Sauter l’obstacle ? Je la réécris. M’attarde sur la chute ; et abdique, vaincu ! On n’a jamais le dernier mot avec une page ; jamais un dernier point ne finit un ouvrage !