Comment identifier un  » requin  » tueur.

 

 

 

 

Comment les biologistes marins s’y prennent-ils pour démasquer les squales coupables de massacres balnéaires ? Les photos prises sur la scène du crime ne suffisant pas, un examen des morsures  s’avère plus utile. C’est ce que nous explique Julia Felsenthal , dans un article bien informé sur les mœurs de cet animal aux mœurs assez voisines des nôtres : «  la dentition des requins est très variable d’une espèce à l’autre. A partir du diamètre des blessures, les scientifiques peuvent parfois déterminer la taille du squale. En fonction des déchirures de la chair humaine autour des entailles, on peut déduire les mouvements qu’a effectués le requin au moment de l’attaque. Par ailleurs, certains requins, en particulier les petits, sont assez souples pour secouer vigoureusement leur tête au moment de l’attaque. En analysant les marques de morsure ainsi que les zones où les dents du squale ont rayé les os de la victime, on peut savoir si le tranchant des dents est lisse ou dentelé. »

On pourrait conclure de ce constat qu’il suffirait d’observer attentivement la denture de son collègue de bureau ou de son voisin pour se protéger de ses «  attaques » aussi « sanglantes » qu’inattendues. Ou de fermer pendant quelques jours les  théâtres d’opérations de ces « squales » et de sensibiliser les « baigneurs » à la sécurité en société . Imaginez un monde où seraient interdites « les eaux chaudes » du combat politicien, par exemple ! Ces eaux où prolifèrent les «  requins blancs, rouges, noirs, roses et bleus ». Les plus meurtriers. Quelle paix ! Plage et soleil… Rêvons, c’est bientôt Noël…

Rétrolien depuis votre site.

Laisser un commentaire

Articles récents