Effet papillon et effet  » Cahuzac  » !

 

 

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Les nuits élyséennes et ministérielles doivent être en ce pluvieux printemps qui ne vient jamais particulièrement agitées. Le syndrome Cahuzac , de notoire expertise suisse, ne serait que  la première attaque d’un virus dormant aux effets dévastateurs sur les centres nerveux d’organismes  » génétiquement  » programmés pour exprimer la haine de l’argent et l’amour des pauvres. Ceux de cette espèce en sont la proie rêvée ; il n’est pas besoin ici d’insister, la doxa idéologique prégnante ne considérait-elle pas jusqu’alors , qu’à droite seulement cette redoutable « viralité » menaçait pour toujours la bienheureuse harmonie, qu’en République, seule la gauche et pour l’éternité serait capable de réaliser ? A la réflexion, on se dit, que la théorie du chaos offre quelques lumières pour comprendre cette déflagration politico-morale aussi soudaine qu’inattendue; dans cette sphère du champ politique tout particulièrement. A tout le moins pour ce qui concerne la relation entre les conditions de sa naissance et l’importance dévastatrice de ses effets dissipatifs. Le battement d’ailes d’un papillon, pauvre bête, comme ceux très souvent à l’origine des tempêtes tropicales, en l’occurrence et heureusement pour lui, n’y est pour rien. Seul un court enregistrement téléphonique quasiment inaudible repéré à Villeneuve sur Lot, est à la source de ce tsunami politique dont les vagues nous emmènent à ce jour, en passant par la Suisse, jusque dans des édens fiscaux situés à Singapour. Avec des relances attendues dans les jours qui viennent dans des directions et vers des « terres » pour l’heure inconnues…Quoiqu’il en soit des dégâts attendus et des digues provisoires  en Hollandie urgemment  élevées, un immense chantier de reconstruction va devoir être lancé, afin, pour l’avenir, se prémunir contre ce genre de cataclysme aux origines désormais repérées. L’abattage de seuls «  boucs émissaires » ne pourra satisfaire longtemps, en effet, un peuple abasourdi, pour ne pas dire hébété, et encore sous le choc d’une violence symbolique qui, en concentré, le saura-t-il jamais? git en toute  société…

 

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