Pensées d’automne.

 

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Pensées d’automne : Celles-ci, prises au hasard, chez Henry de Montherlant.

° « Socrate, traversant un marché à Athènes : « Que de choses dont je n’ai pas envie ! » Aux griefs qui le firent condamner, on ajouterait aujourd’hui : antisocial, pour consommation insuffisante » (La Marée du soir carnets 1968-1971)

° « la tragédie est que la bêtise n’est jamais unilatérale. Tout deviendrait  trop facile » (La Marée du soir carnets 1968-1971)

° « L’effort constant d’une vie doit être d’élaguer : dans nos tâches, dans nos devoirs, dans nos relations, dans nos curiosités, dans nos connaissances même, pour nous concentrer, avec une force accrue, en un petit nombre d’objets qui nous sont propres et essentiels » (Le solstice de juin).

° « Qui veut trop trouver ne trouve rien » (La Marée du soir carnets 1968-1971)

° « Je ne me plains pas, je m’exprime. (Idem)

 

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