Un détail de l’histoire?

 

Longue, longue et ennuyeuse interview de Maryse Arditti dans le Midi Libre d’aujourd’hui, en page 6. Le titre : « l’impact des produits chimiques est préoccupant ». Tiens donc !

Toute une page réservée par la rédaction de Narbonne à la conseillère régionale verte, récemment traitée de folle par G.Frèche et qui                                                                                                                                                                                                        etqui ne participe plus ( jusqu’à quand ?) à l’exécutif régional, pour nous commenter laborieusement  la directive « Reach » !!! J’ouvre une petite parenthèse pour signaler au journaliste de service et à sa complice du moment que je n’ai toujours pas compris ( j’imagine la tête des autres lecteurs) ce que voulait dire « Reach ».Je la ferme, la parenthèse, et ne résiste pas au plaisir de vous livrer un échantillon du jargon «  Ardittien » :

"  Pour les substances préoccupantes, les Verts souhaitaient qu’on mette en route des recherches pour trouver des alternatives. Et que si elles existent, qu’on oblige à les prendre. Pour ça, Reach est un peu "soft" la dessus. "

 C’est pas beau ça!

 Quand je pense que cette dame est professeur des Universités et qu’elle a en charge, à la Région, la Formation Professionnelle ! Un modèle de parler baragouinesque à faire pleurer de rire un apprenti coiffeur. A ce propos, la photo de Maryse, pas terrible ! Elle doit dater, non ? Je l’ai croisée hier, c’est pas la même ! Mais revenons à nos moutons pour dire qu’elle avait trouvé l’impact des propos de Georges sur les blacks (c’est plus chic que « noirs ») des bleus désastreux et humiliant. Nous l’avons félicitée pour cette courageuse position qui, au fil du temps, à cependant tendance à se diluer dans les vapeurs combinardes de l’hôtel de région. L’occasion était pourtant bonne pour en savoir un peu plus sur ses états d’âme d’après fêtes. Mais nous n’en saurons rien ! Tout cela n’étant qu’un détail de l’histoire régionale pour nos journalistes locaux.Qui ne dit mot consent?

 

 

 


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