Willy Ronis, l’un des derniers représentants de la photographie humaniste française, est décédé dans la nuit du vendredi 11 septembre, à peine un mois après son 99e anniversaire. Au-delà des scènes capturées sur les pavés parisiens, Ronis était aussi le photographe de la condition ouvrière. Des clichés simples et d’une puissance saisissante comme celui, devenu mythique, de cette femme qui harangue la foule aux usines Citroën en 1938. Il disait : « J’ai de l’empathie naturelle pour mes semblables et sans faire d’angélisme, j’ai rencontré assez peu de salauds. » Une chance dans ce monde où ils pullulent…
Donc, les 150 membres de la Convention citoyenne pour le climat, – qui, tirés au sort parmi des volontaires pour la plupart écologistes ou sympathisants, […]
Quoique l’on dise et pense de sa liberté – et de ses différentes formes d’expression : sociales, économiques, intellectuelles… elle n’est – ne peut-être – que […]