Quoi de plus répugnant que le spectacle donné par la meute de tous ceux qui doivent mandats et notoriété au chef jadis adulé de La France Insoumise et qui font mine de découvrir aujourd’hui l’autoritarisme et le cynisme politique de Jean Luc Mélenchon ; quoi de plus répugnant en effet que d’avoir à supporter autant de lâcheté et d’hypocrisie étalées ainsi à la pelle, sans compter, sans honte ni reflux sur tous ces plateaux radios et télés graisseux et complaisants.
À part ça, les Halles de Narbonne étaient en deuil ce matin ; et il pleuvait. Le Racing Club Narbonnais avait pris quarante points, en demi-finale de Nationale, la veille au soir, à domicile et, circonstance aggravante, contre Carcassonne ; des Halles en deuil, disais-je, mais bondées et toujours aussi vivantes. À midi, le soleil brillait.
Dans une des arches de la façade Ouest du cloître de la cathédrale Saint Just et Saint Pasteur que je traversais pour rejoindre le jardin de l’archevêché, je suis tombé par hasard sur ce texte et cette toile de Pierre Moussaoui. Huit autres présentent ses papiers-vitraux tout aussi vibrants et lumineux. Un ensemble parfait d’intelligence et de sensibilité dans un cadre propice à la méditation – ou la réflexion, comme on voudra.
Le 14 avril, au lendemain du décès de Mario Vargas Llosa, un message de Jaime Sacio, un de mes « amis » Facebook que je ne connais pas personnellement, a retenu mon attention : « Bonjour M. Santo. C’est toujours un plaisir de vous lire. Sachant votre intérêt pour la langue espagnole, je me permets de vous conseiller un roman moins connu de mon compatriote Vargas Llosa : « Travesuras de la Niña Mala » (Tours et détours de la vilaine fille en français). »
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]
Lu dans l’Indépendant du jour : « l’Occitanie résiliente entend proposer un nouveau modèle de développement pour assurer la souveraineté économique, énergétique, sanitaire et alimentaire […]
La pluie tombait. J’étais près de la fenêtre. La rue était vide. Des feuilles mortes couvraient la chaussée, mouillées. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Lu ce matin dans « L’Opinion », un papier très juste d’Antoine Oberdorff. Ce qu’il décrit n’est pas une colère.C’est une convergence. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]
Premier dimanche de Hanouka.Sydney. Une plage.Plus d’un millier de Juifs réunis pour allumer la première bougie.La lumière. Les chants. Les enfants. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime […]