
La poésie obscure et inintelligible serait-elle de gauche ?

Ma 11.2.2025
Poésie ?
Ma 11.2.2025
Poésie ?
Je 6.2.2025
Concordance des temps !
Un mois encore sans verres adaptés à la vue de près. La conséquence est qu’il me faut des lunettes loupes pour lire et écrire ; ce qui me fatigue. Je me contente donc de courtes plongées dans des Journaux d’écrivains, notamment. Ainsi, ce matin, j’ai ouvert au hasard celui d’André Gide *, pour y trouver ceci noté le 19 Août 1930 :
Ma 4.2.2025
Le temps des mimosas. (Bientôt viendra celui des amandiers)
Ve 31.1.2025
Levé à 4h30. Déverrouillage de l’alarme programmée à 5h30. Monté dans le taxi à 7h. Arrivé à l’hôpital privé du Grand Narbonne à 7h 15. Pris en charge, en mains plutôt, par une première (et très jeune) infirmière, à 8 heures ; elle me dit : « Je vais vous mettre une goutte dans l’œille(sic) gauche ». Une autre, dans la salle jouxtant le bloc, conversant avec sa collègue : « hière ; il n’est pas pareille ; il n’est pas sûre ; bonjoure … » Mais d’où vient, chez ces jeunes gens, cette façon de prononcer ces (e) à la suite de la dernière consonne d’un mot ? Combien de fois ai-je repris mes propres petits enfants ! Et les ai-je irrités…
Ma 28.1.2925
Ce que j’aime en hiver, c’est l’élan nu des branches