Levé à 4h30. Déverrouillage de l’alarme programmée à 5h30. Monté dans le taxi à 7h. Arrivé à l’hôpital privé du Grand Narbonne à 7h 15. Pris en charge, en mains plutôt, par une première (et très jeune) infirmière, à 8 heures ; elle me dit : « Je vais vous mettre une goutte dans l’œille(sic) gauche ». Une autre, dans la salle jouxtant le bloc, conversant avec sa collègue : « hière ; il n’est pas pareille ; il n’est pas sûre ; bonjoure … » Mais d’où vient, chez ces jeunes gens, cette façon de prononcer ces (e) à la suite de la dernière consonne d’un mot ? Combien de fois ai-je repris mes propres petits enfants ! Et les ai-je irrités…
Chaque mardi et mercredi, une atmosphère singulière flotte dans les allées de ce magasin à libre-service. Loin de l’agitation habituelle des fins de semaine, elles ne sont empruntées que par un petit nombre de personnes, principalement des femmes âgées. Elles se déplacent lentement entre les étagères remplies, semblant perdues dans leurs pensées. On dirait que seule la fantaisie les guide, ou le désir d’évasion, d’une rencontre inattendue. Celle d’une caissière, peut-être : celle qui ne manque jamais de demander des nouvelles d’une fille ou d’un fils, qui habite si loin…
Dimanche, à 15 heures, ai vu, au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne, le dernier film de Walter Salles : Je suis toujours là. Un grand film qui m’a incité à revoir son inoubliable Central do Brasil (1998) sur Prime Video (gratuit pour les abonnés)
Me 12.2.2025 Calendrier. FÉVRIER Cette année encore on dira qu’on n’a pas eu d’hiver. Dans l’air humide et mou, sous un ciel à moitié couvert, Les bourgeons des lilas déjà […]
Je 6.2.2025 Concordance des temps ! Un mois encore sans verres adaptés à la vue de près. La conséquence est qu’il me faut des lunettes loupes pour lire et écrire ; ce qui me fatigue. Je me contente […]