Un grand parleur est importun à tout le monde.

Lu 5.5.2025

Lu 5.5.2025

Ve 2.5.2025
Le 14 avril, au lendemain du décès de Mario Vargas Llosa, un message de Jaime Sacio, un de mes « amis » Facebook que je ne connais pas personnellement, a retenu mon attention : « Bonjour M. Santo. C’est toujours un plaisir de vous lire. Sachant votre intérêt pour la langue espagnole, je me permets de vous conseiller un roman moins connu de mon compatriote Vargas Llosa : « Travesuras de la Niña Mala » (Tours et détours de la vilaine fille en français). »

Lu 28.4.2025
Il est 17:10 et c’est mon habitude aussi d’aller me promener en ville …

Sa 19.4.2025
Chez Rolande.

Je 17.4.2025
« Ce serait très bien, la littérature, si les lecteurs comprenaient un jour ce que c’est. Pas du tout. Un type qui écrit deux cents pages sur sa veulerie, sa saloperie, sa médiocrité, son néant, allez, on lui file le prix Goncourt. Quel talent ! Le type est content. Le talent sauve tout. D’où cette nuée de terribles, d’imbéciles heureux qui couvrent les catalogues d’éditeurs grâce à la faculté qu’ils ont de dire qu’ils n’ existent pas. Si on savait lire, on serait stupéfait de l’aveu d’imbécillité de la plupart de nos auteurs actuels. Ils crient leur vide et on leur trouve du talent, voire autre chose. Tout ça, parce qu’on ne sait jamais. Si on loupait un Miller, un Genet, un Kafka, vous vous rendez compte! Cette peur fait publier, rend publiable, 80 % de notre littérature actuelle. »
Georges PERROS. Papiers collés 2. Éditions Gallimard. Collection : L’imaginaire. 1973. Page 164