C’était un temps, dans les années 1975-1982, où j’occupais un bureau dans un ancien hôtel particulier de la rue de Bellechasse, à Paris. Le Ministère de l’industrie y avait installé sa Direction des Industries Chimiques et Textiles au sein de laquelle celles du verre et de la chimie minérale, notamment, faisaient l’objet de toute mon attention professionnelle. Parmi les rituels qui organisaient alors mes déplacements dans ce quartier dit des «ministères», celui qui m’amenait jusqu’au kiosque à journaux situé entre le Ministère de la Défense et la sortie du métro Solférino, revêtait plus particulièrement, et au quotidien, un caractère de première nécessité.
De violents orages s’étaient abattus toute la nuit sur les toits de la ville et la crainte que la pluie du lendemain tombant par rafales rende impossible notre amicale fête chez Thierry et Nelly dans leur magnifique propriété de Douzens, le « Domaine de Fontenelles »¹ , s’éloignait au fur et à mesure de sa transformation en une généreuse et pacifique offrande à des terres et des vignes aux sols gagnés par une désespérante sécheresse.
Vous pouvez agrandir l’image en cliquant dessus. Tous les croquis et caricatures de Denis sont disponibles en cliquant sur: Denis Carrière, en rouge, en haut et à gauche.
Ne pas écrire un mot. «Prier» en silence. Ne pas en rajouter dans l’insupportable «pathos» qui inonde la presse, les réseaux sociaux, leurs « posts » et commentaires. Garder vivanteà l’esprit cette soirée dernière sur la promenade des Barques.
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