En France, les mêmes recettes inefficaces sont utilisées depuis plus de 30 ans pour lutter contre le chômage des jeunes. Question! Pourquoi s’entête-t-on ainsi dans l’erreur et dans le refus de réformer un système sclérosé? Les politiques seraient seuls en cause? Qu’ils soient préoccupés par leur réélection, certes, mais si la demande sociale était forte, ils seraient bien obligés de bouger. Et s’ils ne prennent aucune initiative, c’est que la société s’en accommode. Ce compromis générationnel,Olivier Galland, dans Telos, le fait reposer repose sur trois éléments-clefs, je le cite:
6.327.700 personnes sont inscrites dans les différentes catégories que recense Pôle emploi en métropole ou dans l’outre-mer, soit 21 % de plus que lors de l’arrivée de François Hollande au pouvoir. La responsabilité du Président est ici accablante, comme celle de tous ceux qui l’ont précédé. Mais aussi celle, plus généralement, des français, qui restent attachés à un système qui fait du salariat un luxe, notamment en raison du poids des charges sociales. En cela, le chômage est un choix de société bâti sur des systèmes sociaux privilégiant un salaire minimum relativement élevé et des charges pesantes conçus durant les décennies de forte croissance. Ils se retournent aujourd’hui contre les intérêts des salariés les plus modestes comme ceux des classes moyennes. Moins de petits boulots mal payés, plus de chômeurs de longue durée et plus d’impôts et de la dette pour financer des emplois aidés et administratifs ainsi que des allègements de charges pour les emplois peu qualifiés… Disons le clairement : un consensus liant les pouvoirs politiques et syndicaux aux français de manière générale. Alors que sous l’effet de la mondialisation et du progrès technologique, les entreprises sont poussées à un arbitrage tragique. Résultat: la machine remplace le salarié, le produit importé chasse le produit fabriqué en France, et la courbe du chômage ne cesse de monter.
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