De la vulgarité.
On a beau fuir la vulgarité, celle des hommes,sa violence et son mépris finissent toujours par vous sauter au visage. Celle de certains représentants de notre classe politique régionale surtout. A vous dégoûter d’habiter en Languedoc Roussillon. C’est en ouvrant les journaux locaux que j’ai reçu comme un crachat celle d’un G. Frêche au sommet de sa grossièreté populacière. Hier, il était donc à Narbonne pour assister à la pose de la première pierre d’un IUT et, comme d’habitude, il a balancé à toute volée et tout azimut des propos indignes. Des » insultes » bien grasses qui salissent leur auteur plus qu’elles ne touchent leur destinataire, certes! Mais qui me mettent toujours dans un état de profonde consternation, attéré par l’idée que l’intelligence et le savoir puissent engendrer de tels » monstres « …
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