L’indécence d’élus parisiens !
Tous les jours passent et s’allonge chaque jour l’interminable liste des élus parisiens résidant en logement social. Les intéressés, et ceux qui les logent, n’ont de cesse aussi tous les jours d’invoquer le droit qui ne le leur interdit pas. L’aveu que la décence, qui trace les limites du légal et du légitime – ou de la morale – n’est bonne que pour la société des autres. Qui disait que l’on pouvait parfaitement respecter le droit et être néanmoins un parfait salaud ? Sans aller jusqu’à ce vil et deshonorant qualificatif, comment ne pas se révolter tout de même devant si peu de dignité chez certains de ceux qui nous gouvernent…
Rétrolien depuis votre site.
Antoine
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Plutôt que de chercher querelle à des « élus parisiens » en vous basant sur un article
finalement assez banal – du genre à enfoncer des portes ouvertes – mais au titre racoleur et un tantinet démago du journal Le Monde, vous devriez vous pencher sérieusement sur le nouveau scandale « Trenet » qui pointe son nez –
l’affaire « Aznavour » n’aura alors été qu’un amuse bouche – et qui va probablement « animer » joyeusement la campagne des
municipales à Narbonne !
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Michel Santo
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De quel scandale Trenet parlez vous donc ! Je lis dans le Midi Libre qu’il y a conflits et procès entre ayants droits… Où est donc le scandale dans lequel serait plongé des élus ? Ah! mes
chroniques sur Narbonne, je les publie désormais sur Facebook dans » Chroniques sur Narbonne « …
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Antoine
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Ah bon ?
Ainsi, vous semblez entre autres (*) trouver normal que l’adjointe au maire chargée « des animations » (au passage, cela montre dans quelle
catégorie est classé ce « festival » !) et cousine germaine du maire à qui elle a « vendu » ce concept « festif » :
Aurait fait en sorte que, chaque année, la maîtrise d’œuvre de cet « événement » soit sous traitée par
la mairie (maîtrise d’ouvrage) à la société de production (*) dirigée par sa filleule … ;
Aurait déposé la dénomination du dit « festival » à l’INPI (« Festival Trenet Y’a d’ la
joie ») en son nom propre et non à celui de la mairie, pourtant maîtrise d’ouvrage et, donc, payeur ?
Dont acte de votre réponse … surprenante et … à suivre !
(*) Par exemple le fait que le produit de la vente des billets du fameux (fumeux ?) concert « Aznavour » aurait été encaissé par la
société de production en question et le remboursement d’environ 2/3 des billets financé par la mairie !
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Michel Santo
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Je n’avais pas lu votre réponse dont je prends connaissance ce soir alors même que je mets en ligne demain un billet que je tiens prêt depuis avant hier; et qui devrait vous satisfaire. Vous me
donnerez votre avis. NB Je n’ai pris connaissance de l’article du midi libre que le lendemain du jour de sa publication…
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