La légèreté pesante des mots.
Les caisses de l’Etat sont vides, nous dit-on. Et le trou de la sécu se creuse. Quant aux raisons du vide et du creux des solutions invoquées pour les remplir, elles nous plongent dans des abymes de perplexité. Comme ce titre du Figaro économie du 10.12.08 : » Le déficit commercial français atteint un nouveau sommet « . Qui nous ferait presque croire qu’un gouffre puisse s’éléver.
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