La plus profonde philosophie qui soit…

Ve 21.3.2025

Ciel bas, bouché, uniformément gris.

Violentes rafales de sud-est.

Pluie fine, intermittente.

Dans le calme de mon bureau, j’écoute la sonate op. 110 de Beethoven.

Imre Kertész, dans ses notes (1991-2001) publiées chez Actes Sud (Le Spectateur), en dit ceci, à la page 247 :

« La question douloureuse que pose Beethoven concernant le sens de la vie dans le troisième mouvement de la sonate op. 110 n’a qu’une seule réponse : la fugue qui le suit. Et c’est en même temps la plus profonde philosophie qui soit, aucune réflexion verbale ne l’a jamais dépassée. »

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