Les pitreries parlementaires.
Relayant les pitreries de son groupe à l’Assemblée, le député (PS) de Narbonne, Jacques Bascou, tout en reconnaissant que les français en général et les narbonnais en particulier avaient d’autres préoccupations en ce moment, persiste à vouloir « amender librement « , nous dit le Midi Libre de ce vendredi 23 janvier. Sur tout… L’hôpital et « la publicité pour les vins sur internet « . A l’exemple de ce que nous montre du » travail » parlementaire cette édifiante vidéo.Et que fustigeait en son temps, en 1998!!!, un nommé J.M Ayrault, l’actuel président des députés
socialistes. Qu’on en juge: » Tout projet, quand il arrive au stade de la séance publique, a été décanté par un petit nombre de députés, et arbitré sur les points essentiels en réunion de groupe : la séance publique n’est que le moment ultime où législateur et gouvernement confrontent leurs points de vue en connaissance de cause. » les débats en séance publique … l’opposition y recherche l’incident qui soudain réveille les journalistes et nourrit les papiers du lendemain. » » Ces interminables épisodes sont par ailleurs facilités par le règlement de l’Assemblée, qui permet de désorganiser les débats grâce aux motions de procédure sans limitation de temps de parole et à l’avalanche d’amendements répétitifs.
Cela s’appelle le filibuste ring. Le filibuste ring n’est pas lié à la démocratie parlementaire, il en est la maladie infantile. Il dessert la fonction législative. Le fait que certains de mes prédécesseurs se soient laissés aller à l’organiser lorsque nous étions dans l’opposition n’implique pas que je les comprenne ; encore moins que je les approuve. »… » Ainsi, l’Assemblée nationale fonctionne mal. Et cela nourrit l’antiparlementarisme. »
Que dire de plus et de mieux? Rien! Si ce n’est que la cohérence intellectuelle et morale, à défaut de la politique, comme les promesses, n’engagent surtout pas ceux qui s’en réclament…
socialistes. Qu’on en juge: » Tout projet, quand il arrive au stade de la séance publique, a été décanté par un petit nombre de députés, et arbitré sur les points essentiels en réunion de groupe : la séance publique n’est que le moment ultime où législateur et gouvernement confrontent leurs points de vue en connaissance de cause. » les débats en séance publique … l’opposition y recherche l’incident qui soudain réveille les journalistes et nourrit les papiers du lendemain. » » Ces interminables épisodes sont par ailleurs facilités par le règlement de l’Assemblée, qui permet de désorganiser les débats grâce aux motions de procédure sans limitation de temps de parole et à l’avalanche d’amendements répétitifs.
Cela s’appelle le filibuste ring. Le filibuste ring n’est pas lié à la démocratie parlementaire, il en est la maladie infantile. Il dessert la fonction législative. Le fait que certains de mes prédécesseurs se soient laissés aller à l’organiser lorsque nous étions dans l’opposition n’implique pas que je les comprenne ; encore moins que je les approuve. »… » Ainsi, l’Assemblée nationale fonctionne mal. Et cela nourrit l’antiparlementarisme. »
Que dire de plus et de mieux? Rien! Si ce n’est que la cohérence intellectuelle et morale, à défaut de la politique, comme les promesses, n’engagent surtout pas ceux qui s’en réclament…
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