Pauvre Trenet !
Marie-Claude Eglessies, qui officie en grande prêtresse du Festival Trenet, l’assure: «Nous prenons en compte le centenaire de Trenet, tout en constituant, comme chaque année, un plateau qui n’est pas “has been”, en langue française. » Admirable « has been, en langue française » ! Mon pauvre Charles, tes producteurs locaux parlent un étrange idiome ! On ne leur demande pourtant pas de jouer joliment avec les mots, de rythmer leurs phrases à ta manière, d’avoir une âme de poète, de nous donner des rendez avec la lune, de nous emmener dans des pays merveilleux. Ceux de tes chansons, des pays de rêve, ailleurs, bien loin d’ici ! bien loin du fond de nos quartiers et de nos rues… Non ! La seule chose qu’on leur demande, c’est de parler en bon français. Surtout quand il s’agit de ton festival et de ta fête ! Est ce trop leur demander? Allez ! bon dimanche tout de même Marie-Claude, et soignez donc votre expression, quand de Trenet il est question !
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Brevin
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Mme Eglessies cultive principalement ses ambitions politiques et cherche à promouvoir le coté « business » de ce festival. Nous sommes pour le soutien aux artistes de talent et la gratuité des
spectacles. Les revenus indirectes, importants, devraient servir à l’équilibre…
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