Ce matin, j’ai reçu mon lot de violences de gens que je « croise » pourtant dans la rue et me lisent sur la « Toile », notamment…
Il est des matins où vous frappe plus que d’autres la violence des mots, écrits ou prononcés, peu importe. Surtout quand vous en êtes le destinataire et vous pensiez à l’abri, sous le couvert de billets le plus éloignés, s’il est possible, de tout emportement.