Voilà plus de quatre ans que madame Fabre, député, et monsieur Courteau, sénateur, militent aux côtés du collectif de la Vieille Nouvelle (Lydie Passemar, Elisabeth Rouch et Laurent Bady) pour la création d’une bande de roulage de 4,5 km sur le sable qui relierait la zone portuaire de Port la Nouvelle à l’étang de l’Ayrolle. En vain! Cette bande ne se fera pas…
Une série d’articles parues dans la presse locale en ce mois d’août (l’Indépendant du 13 août 2015. Carole Lemaître) ont fait état récemment de la possible fermeture de tous les points d’accès à la plage de la Vieille Nouvelle. Une plage aujourd’hui fréquentée dans des conditions quasi-sauvage qui menacent, il est vrai, son environnement. Les pratiquants de sports de glisse craignent évidemment de ne plus pouvoir accéder à un de leurs spots les plus appréciés de la côte. Un débat ouvert depuis plusieurs années, dont je faisais état dans un billet publié le 16 juin; billet qui reprenait l’argumentaire soigné d’un usager de la Vieille Nouvelle pratiquant la planche à voile. Le voici:
Le 16 mars, je mettais en ligne un billet intitulé: « De la « Glisse » naîtrait une « Californie » languedocienne?! » Un billet dans lequel je posais quelques questions après que les deux CCI de Béziers et Narbonne, ainsi que l’Agglo du Grand Narbonne, aient planché sur le thème du vent comme source de valeur, de profits et d’emplois.
Je reçois, aujourd’hui même, un commentaire très argumenté d’un pratiquant de sport de glisse, en réaction à mon article, dans lequel il explique les raisons pour lesquelles il fréquente depuis des années nos plages, son impact économique et ses craintes pour l’avenir.
Une contribution à un débat qui m’a semblé devoir être portée à la connaissance de mes lecteurs, et des maires et président d’exécutifs locaux qui me suivent, notamment sur ces questions d’économie locale et touristique.