𝐋𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐨𝐢𝐬 𝐜𝐚𝐧𝐚𝐫𝐝𝐬.

Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit.

Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit.

Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar aussi. Des lieux et des vins qui font des souvenirs.

Lu dans l’Indépendant du jour : « l’Occitanie résiliente entend proposer un nouveau modèle de développement pour assurer la souveraineté économique, énergétique, sanitaire et alimentaire de la région. » C’est le rapporteur du budget qui l’affirme.

La pluie tombait. J’étais près de la fenêtre. La rue était vide. Des feuilles mortes couvraient la chaussée, mouillées.

Lu ce matin dans « L’Opinion », un papier très juste d’Antoine Oberdorff.
Ce qu’il décrit n’est pas une colère.
C’est une convergence.