La taxe exceptionnelle à 75 % sur les hauts revenus s’est discrètement éteinte le 1er janvier 2015. Ce grand symbole de la campagne de François Hollande, qui devait initialement perdurer « le temps du désendettement », n’aura donc finalement été appliqué que deux ans. La taxe, qui s’applique aux revenus de 2013 et 2014, devrait rapporter 260 millions d’euros en 2014 et 160 millions en 2015, selon le ministère des Finances.
« Les présidents des régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, Martin Malvy et Damien Alary, se sont réunis en dehors du Languedoc, à Collioure, ce 29 décembre.
Enseignant à Sciences Po, Pierre Conesa est l’auteur de Surtout ne rien décider. Manuel de survie en milieu politique, ouvrage qu’il résume comme suit : «l’art de la non-décision consiste à agir avec méthode et savoir-faire, assurance et détermination afin de laisser les inévitables réformes aussi intactes que possible à ses successeurs.» Et d’en dégager quelques principes:
1er principe : Démonter la prétendue urgence de la réforme.
2ème principe : Énoncer des principes ambitieux et généreux qui expliquent la lenteur et la complexité de la réforme.
3ème principe : Étudier bien et longuement le problème : commissions, haut conseil, haute autorité, etc.
4ème principe : Toujours communiquer pour expliquer l’inaction : novlangue, complexité juridique, exemples étrangers non-transposables, etc.
5ème principe : Quand toutes les voies de l’inaction ont été explorées, il reste à créer de la complexité.
Cette « Une » de FOG pour viriliser Juppé, son candidat … et le faire tomber dans le vulgaire. Une erreur de « com »! Dans tous les sens phonétiques du terme…
Un ami « Facebook » publie sur son mur ces deux célèbres phrases d’Antonio Gramsci, d’une trop simple et banale vérité. En politique, en effet, le neuf et le vieux ne s’opposent pas dans leur essentielle pureté – le blanc et le noir non plus dans le domaine physique. Grise elle est! comme la raison qui s’efforce de la penser pour s’en saisir. Et c’est le sommeil de cette raison-là, comme le notait Goya, qui enfante des monstres…