Le père Noël de J.M Baylet est passé hier : Les Offices de tourisme des stations classées de Narbonne, Gruissan et Leucate gardent leurs compétences…

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Voilà, c’est fait ! «La loi Montagne» a été votée cette nuit et la situation juridique est enfin claire – même si elle est embrouillée – pour ce qui est de la compétence tourisme. Les Offices de Tourisme des stations classées pourront donc demeurer de gouvernance et de financement communaux et ne  peuvent donc ne pas être transformés en un « Office de Tourisme distinct » (autrement dit un Office de Tourisme communautaire à compétence territoriale limitée), au sens de la loi NOTRe, qui prévoyait un maintien, certes, mais sous gouvernance et financement communautaires (et par décision de l’EPCI).

Grand Narbonne Tourisme ! Un transfert de compétence à l’Agglo sans réelle ambition !

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Le Grand Narbonne accouche enfin d’une organisation de son « économie » touristique, en application de la loi, dont le moins que l’on puisse dire est qu’elle n’est pas marquée du sceau de la cohérence institutionnelle et politique.

Qu’on en juge ! Un établissement public industriel et commercial est créé à qui auront été transférés les actifs, les personnels et les ressources des offices de Port la Nouvelle, Fleury, maisons ou syndicats de  Coursan, La Palme, Névian… Chacun de ces offices  changeant conséquemment de statut pour n’être plus que de simples bureaux d’information de l’office de tourisme intercommunal. Mais les stations classées de Gruissan, Narbonne et Leucate, elles, conserveront leur autonomie « communale » : autonomie institutionnelle de gestion, de moyens et de ressources et la totalité de la compétence tourisme !

Manuel Valls, l’inconstance ou la vertu ?


 

Le piège de la primaire du PS n’est-il pas en train de se refermer sur Manuel Valls ? Dès lors que François Hollande renonçait à la présidentielle, il lui était quasiment impossible de ne pas candidater. Mais, ce faisant, il s’obligeait à « gauchir » sa ligne politique pour se placer au centre de gravité du PS et de l’électorat socialiste traditionnel.

Les « Humeurs de Narbonne et d’ailleurs » de Patrick Nappez.

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Qui ne connaît  Patrick Nappez, à Narbonne précisément, où il a dirigé, entre septembre 2001 et juin 2008, la rédaction du Midi Libre. Sa haute taille, son profil aux traits acérés et son petit catogan étaient craints aussitôt qu’aperçus dans les conférences de presse données par les notables du petit « mundillo » narbonnais.

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