Chronique de Narbonne. RCNM: les nerfs sont à vif et la dignité aux vestiaires…

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Dans un de mes derniers billets, je relevais la dignité avec laquelle les supporters du RCNM manifestaient pour appeler, enfin, à l’union de tous les acteurs pour tenter d’éviter sa relégation en F1. Dignes, ils demandaient à ce que tout le monde le soit.

Chronique Narbo-Martienne. Arts : Narbonne se maintient dans le Top 14

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La menace d’une relégation du RCNM en F1 est un évènement cruel, où le déclin finit d’être latent pour entrer dans l’ordre du possible. Dans ces conditions, l’exposition Génération Spanghero, organisée dans le cadre de Sportfolio (et voulue sans doute pour réhabiliter un nom écorné il y a peu), sonne étrangement. Elle rend ce passé glorieux encore plus lointain et révolu, mais le rend encore plus présent, par comparaison dépitée.

Côté arts et culture, Narbonne compte des acteurs souvent remarquables, et a suffisamment d’arguments pour ne pas craindre la relégation la saison prochaine.

Mais si Sportfolio consacrait une expo à la dream team des artistes Narbonnais du passé, il y aurait du beau monde là aussi.

Chronique de LRMP. Carole Delga en dette envers le PS!

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Dans Marianne, on apprend que d’anciens ministres et « grands élus » ne payent plus leurs cotisations à la franchise qui leur a pourtant permis de l’être, en l’occurence le PS. Ce qui est fort de café, tout de même. Leur « carrière », et leurs statuts, ils, ou elles, le doivent, en effet, à cette marque qui leur fut concédée lors de leurs remises d’investitures. Sans elle, que seraient-ils, ou elles, aujourd’hui!

Chronique de Narbonne. RCNM: la stratégie du faible au fort!

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Je ne connais pas les résultats de la réunion Mouly-Elsom, tenue en mairie ce mercredi 8. Ce que je sais, comme je l’ai relevé dans mes billets précédents, c’est que le dénouement des conflits ouverts contre le patron de la SAPS depuis le début de cette saison est proche. Et qu’il n’est dans l’intérêt de personne, sauf peut-être de ceux qui jouaient le redressement judiciaire, voire le dépôt de bilan, que Didier Mouly « baisse le pouce » pour les satisfaire.

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