Chronique de Narbonne: Jacques Bascou face au PS et à Yves Bastié, notamment …

grand NarbonneIl n’est vraiment pas content Yves Bastié. Et on peut le comprendre! Maire de Sallèles, ex PS, divers on ne sait pas trop quoi, il apprend comme nous que, pour les prochaines cantonales, il aura sur son « terrain de jeux » un binôme constitué du maire de Ventenac et de son ex-adjointe PS – son actuelle première opposante dans sa petite ville de Sallèles. Et comme il est vice-président du Grand Narbonne, il l’a fait savoir à son président, le socialiste Jacques Bascou.

Chronique de Narbonne: La riche association fantôme du Conseil Général de l’Aude!

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Créée en 1981, l’UNAMECOGERA est une singulière association. Sans président durant 19 ans, ni bureau, ni conseil d’administration, cet organisme à l’acronyme exotique aurait perçu des subventions du Conseil général pour financer des retraites complémentaires. Sauf que depuis la promulgation de la loi sur le statut des élus en juillet 1992, ce genre de procédé est illégal.

Chronique de Narbonne: Les Halles et la « Mairie » se prennent par les cheveux!

UnknownJeudi, comme tous les jeudis et dimanches, jours de marché, il y avait du monde sur les Barques et dans les Halles. Le Ciel, sans nuages ou si peu était bleu et l’air doux. Celui du président des mêmes Halles, à l’inverse, était renfrogné.Les clients et les badauds ne manquaient pourtant pas. Des enfants y étaient aussi, nombreux, ils y mangeaient des oeufs brouillés sous le regard bienveillant de Stéphane tentant désespérément de savoir auprès d’eux qui de la poule ou de l’oeuf…

Chronique de Narbonne: Diminuer les dépenses de fonctionnement du bloc Grand Narbonne-Communes membres est possible et nécessaire!

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Les chiffres de la Cour des Comptes publiés le 14 octobre sont indiscutables: Le dérapage du déficit de la France par rapport à ce qui avait été prévu dans le programme de stabilité 2013-2017  est dû pour un tiers aux administrations locales, dont le déficit était le double de ce qui était prévu : 0,4 % contre 0,2 % du PIB. La raison: des dépenses en hausse, des recettes qui n’ont pu compenser, et une augmentation des investissements. Conséquences: une baisse de l’autofinancement et une augmentation de la dette …

L’accent est aussi mis sur les dérives du bloc communal: intercommunalités-communes. Elle note ainsi que « loin de se traduire par des économies d’échelle », la multiplication des intercommunalités « a été un puissant facteur d’augmentation des dépenses de fonctionnement ». Selon l’analyse de la Cour, les communes ont profité des « marges de manœuvre dégagées par le transfert d’une partie de leurs compétences » aux intercommunalités pour « renforcer leurs services, y compris dans des champs d’intervention partagés avec les groupements intercommunaux ». Exemple avec les dépenses de personnel : en onze ans, 260 000 agents supplémentaires ont été recrutés dans le « bloc communal », c’est à dire les communes et les intercommunalités. Une part de ces dépenses est due aux transferts de compétences qui ont eu lieu durant cette période, mais la Cour dénonce aussi une croissance parfois « non maîtrisée » et des politiques de gestion du personnel questionnables.

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Le bloc communal du Grand Narbonne n’échappe pas à  ce constat : la somme des effectifs du Grand Narbonne et des communes membres, loin de diminuer a augmenté elle aussi. Si les compétences des communes, et leurs agents, ont bien été transférés au Grand Narbonne, dans le même mouvement elles ont élargi les restantes et recruté … Des déséconomies d’échelles, en quelque sorte. Quant à la maîtrise des politiques de gestion du  personnel , on se souvient peut être que la Chambre Régionale des Comptes signalait que pourrait y être fait l’économie de 23 postes à temps plein dans ses services par la seule application de la durée légale du travail à ses agents. D’après mes calculs, cela représenterait une somme de 600 000 euros par an, qu’il faut multiplier par la durée moyenne d’une carrière pour en évaluer l’impact financier et… fiscal, évidemment. Des légèretés auxquelles il semble que l’on veuille mettre fin! J’observe aussi que la mutualisation des services – une de raisons d’être des intercommunalités – n’a pas été véritablement engagée, alors qu’elle est une source potentielle d’économies. Je pense notamment à des domaines comme l’informatique, la commande publique, le conseil juridique, les plans de formation des personnels… Contrairement donc à ce qui nous est habituellement exposés, des marges de manoeuvres existent bel et bien pour sortir de cette trajectoire inflationniste en termes de dépenses de fonctionnement du bloc Grand Narbonne-communes membres. Il suffit de le vouloir, de se fixer des objectifs et de s’en donner les moyens. Le premier d’entre eux étant bien entendu la confiance entre ces deux niveaux de collectivités. Il faut donc pour ces raisons là aussi en finir avec la situation de blocage actuelle entre le Grand Narbonne et Narbonne. Les électeurs-contribuables ne comprendraient pas que rien ne soit fait pour en sortir et enfin travailler de concert avec toutes les autres communes pour alléger leur facture fiscale tout en leur garantissant un service public de qualité.

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