Gruissan. La plage des chalets. Dans l’axe de l’allée 6, toujours à la même heure, le soir, tous les étés, le même homme. Il vient de je ne sais où, son regard fixé sur la ligne d’horizon, toujours sur la même trajectoire et, d’un même pas balancé, entre dans les eaux sans la moindre hésitation, plonge et fait quelques brasses. Quelques brasses seulement, puis tourne le dos à la mer et reprend la même trajectoire, toujours au même rythme, le regard fixé sur je ne sais quelle image, vers je ne sais où et ne sais qui.Toujours à la même heure.L’heure où le soleil décline et la lumière bleuit…
Qu’y a-t-il de commun entre le pothos ou lierre du diable, le dragonnier de Madagascar ou dracaena, arbuste d’origine tropicale, et le chlorophytum, ou plante araignée ? Un effet « air propre».C’est l’Agence pour le Développement et la Maîtrise de l’Energie (ADEME)qui nous le confirme sur des airs de pipeaux : cocorico (!), nos chercheurs venant de confirmer l’effet épurateur de ces trois plantes au sein d’un petit cube confiné dans lequel ils avaient injecté des polluants. Lierres du diable et plantes araignées, que Monsieur Borloo devrait imposer par décret à tous les étages de tous les hôtels de notre chère République. On y respirerait mieux !
Le Frêche à l’âneest un « joli petit camping adossé à la colline et offrant une vue panoramique sur la vallée et sa campagne.les emplacements, spacieux, en terrasse, sont délimités par des haies et plantés d’arbres aux essences variées. Situé à proximité du gr34, sur la côte d’émeraude, au cœur d’une magnifique région regorgeant de sites naturels et historiques mais aussi de superbes plages de sable fin. » Un petit coin de paradis sur le territoire de la commune de Pleboulle (22550) à qui nous refilerions bien notre Frêche régional en échange de leur âne. Qui nous revient de l’hôpital, pas l’âne, Frêche, à peine requinqué, pour se lancerdans une chasse aux têtes qui ne lui reviennent pas. Notamment celle de Perez, le président du Montpellier Rugby Hérault, qu’il vient de mettre à prix. En jeu, une subvention publique d’un montant global de plus d’un million d’euros ! Un ultimatum sur fond de rivalité politique, Perez étant le gendre d’André Vezinhet, patron du Conseil général et rival politique de Frêche…Il nous avait promis d’en couper pas mal (des c..) après les régionales, George. Depuis, il semble préférer les têtes. Et d’une !
Une décision municipale présentant l’aspect le plus consensuel et le plus démocratique que l’on puisse imaginer lue dans la presse narbonnaise : « Le samedi les parkings resteront gratuits ». Ceux du centre ville, plus précisément. Qui, en effet, pourrait être contre un tel acte de générosité politique en ces temps de crise ? Personne, évidemment ! Sauf que, « ce manque à gagner », il faudra bien que quelqu’un le finance. Ce sera donc, à défaut de l’automobiliste résidant ou pas, le contribuable local usant de ses seules jambes pour se déplacer. Ainsi, ma voisine de 82 ans qui se meut pédestrement, à l’aide d’une canne, et qui, tous les mois, paye ses impôts subventionnera-t-elle mon coiffeur qui, chaque samedi, scotche ostensiblement devant son enseigne le dernier modèle de 4X4 BMW . Une bien curieuse manière de lutter contre les inégalités sociales, d’inciter aux déplacements doux et d’encourager au respect des règles de la civilité…
Pressez le citron. Lavez et équeutez les fraises. Mixez-les avec le jus du citron. Passez le coulis obtenu au chinois pour éliminer les graines. Préparez six bandes de papier bristol et glissez-les en les enroulant dans six petits moules à soufflé. Fixez la bande par du ruban adhésif ou un trombone. Dans une jatte, fouettez au batteur les jaunes avec 150 g de sucre et le sucre vanillé. Placez la jatte au bain-marie et continuez à remuer pour que le mélange triple de volume. Hors du feu, continuez de fouetter jusqu’à complet refroidissement. Montez la crème fraîche froide en chantillypas trop ferme. Fouettez les blancs en neige avec le reste de sucre. Incorporez-les dans les jaunes puis ajoutez la chantilly et terminez par le coulis de fraises. Répartissez dans les moules, lissez la surface et placez au congélateur 6 h. Sortez les soufflés 20 min. avant de les servir. Retirez la bande de bristol. Décorez de fraises fraîches…
Lu ce matin dans « L’Opinion », un papier très juste d’Antoine Oberdorff. Ce qu’il décrit n’est pas une colère.C’est une convergence. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]
Premier dimanche de Hanouka.Sydney. Une plage.Plus d’un millier de Juifs réunis pour allumer la première bougie.La lumière. Les chants. Les enfants. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime […]
Sur mon fil d’actus Facebook. Lu ce matin cette révélation : nous vivrions dans un « patriarcat acoustique ». Rien que ça. Quinze ans de retard, mais toujours la même ardeur pour débusquer le […]
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