On lit trop de choses sans valeur !

 

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Ce matin, « la Fourmi rouge » ( que je ne connais pas…), m’a adressé un court message dans lequel elle me dit n’avoir pas le temps suffisant pour aller consulter les divers sites sociaux vers lesquels sont automatiquement orientés mes billets. Je la sais pourtant active sur ces plates formes ( notamment sur celle de l’Indépendant ) et l’ai encouragée à l’être moins pour satisfaire son désir de lecture sacrifié sur l’autel de ces nouveaux médias. Son petit mot tombait bien, et, comme souvent ces temps ci, j’ai pu mesurer la puissance discrète du hasard dont Denis Grozdanovitch a fait le titre de son dernier livre ( J’en recommande vivement la lecture! )

 

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Je lui ai donc suggéré de lire « Protée », de Simon Leys, dans lequel, par une étrange coincidence, je venais de noter ce conseil pour gens pressés dans une époque sur-informée:

 

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Comme le note Gide avec vérité, après avoir lu la prose des journaux, je constate, moi aussi, qu’un Montaigne ou un Balzac nous éclairent davantage. Aussi, je ne peux que souhaiter à mon épistoliaire fourmi d’économiser son temps  pour le consacrer à de bonnes et solides lectures… 

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