Maxime Tandonnet écrit ceci dans un de ses derniers billets : « Ces derniers jours, la France d’en haut, médiatisée, visible, officielle, communie dans un indescriptible enthousiasme, et quasi unanime, à propos de l’élection du plus jeune président de l’histoire, de la faillite des « vieux partis » et de la recomposition politique en marche… Après la déprime de ces dernières années, l’heure est de nouveau à l’optimisme et à l’allégresse médiatique. Il devient incongru de s’interroger sur les ambiguïtés de la situation politique actuelle… »
Dans un récent billet , je dénonçais la prétention arbitrale de la microscopique association « Païs Nostre, qui, comme à son habitude avant chaque élection, locale ou nationale, exige des candidats proclamés ou investis qu’ils se présentent devant elle afin que soit vérifié par son jury d’experts leur degré de compatibilité avec son « occitanisme » militant ; et regrettais que tous ceux aspirant à occuper un siège à l’Assemblée Nationale se soient pliés à ce grand oral afin de répondre à une question juridiquement et politiquement d’une grande sottise (et je reste poli !) : « Quelles sont vos propositions économiques, sociales et culturelles pour le Narbonnais dans l’Occitanie ? ».
J’ai adressé un petit (et léger) questionnaire – dans le style du questionnaire de Proust ! – aux candidats à l’élection législative des 11 et 18 juin sur la deuxième circonscription du département de l’Aude investis par leur parti ou mouvement. Leur profession de foi politique étant disponible en abondance et ailleurs, il m’a semblé utile – et amusant ! – de les soumettre à ce petit « jeu intellectuel ». Leur réponse – s’ils répondent ! – sera mise en ligne, dans l’ordre de leur réception. Pour celles ou ceux qui n’auraient pas reçu ce « questionnaire », il est bien entendu très facile de me le faire savoir – et de me le demander !…
La microscopique association « Païs Nostre », comme à son habitude avant chaque élection, locale ou nationale, exige des candidats proclamés ou investis qu’ils se présentent devant elle afin que soit vérifié par son jury d’experts leur degré de compatibilité avec son « occitanisme » militant. Une prétention arbitrale sur des critères ethno-linguistisque qui a le don, j’en conviens, de m’exaspérer au delà du raisonnable ( l’origine de ce sentiment remonte sans doute à mon enfance où je me faisais traiter de « sale espagnol » dans cet idiome régional… Et puis hier, le hasard faisant mal les choses en l’occurrence, je rendais un petit et dernier hommage à ma tante tant aimée Dolorès !)
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