Répugnantes meutes !

Je.4.1.2024

Enfant, il faut avoir subi soi même les moqueries, la disgrâce, la mise à l’isolement, voire la violence physique de petits « camarades » de classe ou de quartier pourtant bien élevés dans la bienveillance sociale, pour un « défaut » de corps, de langue, de peau ou de nom, pour comprendre, plus que tout autre, et dans ces occasions où chacun s’abandonne dans une solidarité de meute, ce que cette dernière nous dit du désir et de la jouissance immodérés d’effacer le différent, l’étranger, le talent, voire le « monstrueux ».

Illustration : Kowalski (Loup sans sa meute)

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