Après le massacre de la « rédaction » de Charlie Hebdo et de policiers en tenue, quatre otages ont été abattus par un membre du même groupe terroriste islamo-fasciste, cette fin d’après-midi tragique, dans un magasin kasher. Nul hasard, bien sûr. Les « mécréants » et les Juifs sont leurs cibles habituelles. Et, sur tous les médias que j’ai écoutés depuis que ces tueurs ont été mis hors d’état de nuire, comme dans la bouche des hommes politiques qui se sont exprimés, à l’exception de Manuel Valls sur TF1 et Hollande sur la 2, je n’ai pas entendu souvent le mot antisémite-Jusqu’à ce que je mette en ligne, hier soir très tard, et très tôt ce matin, en tout cas, ce billet…
Comment retenir sa « rage » devant ce massacre, sinon en restant d’une dignité absolue toute en force et volonté de ne rien céder de nos valeurs et de nos libertés à ces épurateurs sanguinaires ainsi qu’à leurs complices… Sachons retenir nos cris et nos larmes, qu’ils n’en jouissent pas! Montrons leur, à ces odieux apôtres de la haine, de la violence et de l’encagement des consciences, que notre foi inébranlable en la République et la démocratie aura raison de leur folie barbare. Ce 6 janvier, qui est notre « 7 septembre », restera comme celui d’une entrée en guerre contre tous nos principes et notre histoire. D’où que nous venions, sans failles, sachons-les défendre sans jamais les trahir…
Elle est allée dans sa chambre. Elle est revenue. Elle tenait un disque. Marcel Amont. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]