Affaire terminée pour Jean Paul César, l’adjoint de Didier Mouly ? Ses mandats municipaux et communautaires, qui étaient jugés par l’État incompatibles avec ses fonctions de directeur adjoint de l’Office de Tourisme du Grand Narbonne, lui sont désormais définitivement acquis jusqu’en 2020. En effet, dans le cadre d’une procédure de « rupture conventionnelle » négociée avec Didier Codorniou, son « patron », il quittera ses fonctions, dès le 15 mai.
César, pas Jules, mais Jean-Paul, administre, en adjoint de Mouly, pas le père, mais son fils, la « petite enfance » de Narbonne, notamment. Un nom illustre, pour une ville qui fut la prospère – et la première – colonie romaine fondée ex nihilo, hors d’Italie, avant que le Jules en question ne vienne fourrer son nez dans les affaires gauloises.
« Le front républicain » fait débat dans la presse locale (le Midi Libre du 9 février 2015) entre les principaux candidats aux élections départementales, sur Narbonne en tout cas. À l’exception, cependant, de J’aime Narbonne (PS et alliés, encartés ou pas) qui, par la voix de Nicolas Sainte- Cluque, déclare son intention de faire barrage, au second tour, au candidat du FN s’il était opposé à un candidat UMP ou Nouveau Narbonne, et du parti de madame le Pen qui, comme d’habitude, refusera d’apporter « ses » voix à l’UMPS. Du côté de la droite locale, les points de vue sont plus variés. Jean Paul César prône le « barrage » au FN, à titre personnel, quant à Didier Mouly, il explique que si c’est « un candidat responsable, on peut appeler à voter pour lui. Sinon, il faut laisser les électeurs choisir. »
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