Willy Ronis, l’un des derniers représentants de la photographie humaniste française, est décédé dans la nuit du vendredi 11 septembre, à peine un mois après son 99e anniversaire. Au-delà des scènes capturées sur les pavés parisiens, Ronis était aussi le photographe de la condition ouvrière. Des clichés simples et d’une puissance saisissante comme celui, devenu mythique, de cette femme qui harangue la foule aux usines Citroën en 1938. Il disait : « J’ai de l’empathie naturelle pour mes semblables et sans faire d’angélisme, j’ai rencontré assez peu de salauds. » Une chance dans ce monde où ils pullulent…
Me 12.2.2025 Calendrier. FÉVRIER Cette année encore on dira qu’on n’a pas eu d’hiver. Dans l’air humide et mou, sous un ciel à moitié couvert, Les bourgeons des lilas déjà […]
Je 6.2.2025 Concordance des temps ! Un mois encore sans verres adaptés à la vue de près. La conséquence est qu’il me faut des lunettes loupes pour lire et écrire ; ce qui me fatigue. Je me contente […]