Valérie Trierweiler a raison: on n’attend pas de François Hollande qu’il soit sympathique et populaire.
Valérie Trierwieler a raison, on n’attend pas d’un Président qu’il soit sympathique et populaire. Il ne peut jamais l’être, surtout dans des situations économiques et sociales comme celles que nous connaissons. il ne peut et , de plus, ne doit jamais l’être , les promesses pour lesquelles les électeurs l’ont choisi étant pour la plupart irréalisables. D’autant que, le cadre, disons social libéral , ou libéral social, comme on voudra, une fois posé et revendiqué, ce n’est qu’une question de degré, comme seul « référent » de l’action de l’exécutif, le panier de mesures socio-économiques à mettre en œuvre pour résoudre les problèmes structurels du pays est limité et forcément impopulaire. Que ce soi pour la gauche ou pour la droite dite de gouvernement. Dans le cas de François Hollande, son impopularité, massive, est d’une autre nature. Elle tient moins à la politique engagée depuis l’installation de Manuel Valls à la tête de son gouvernement, qu’à « l’immaturité » politique de son propre parti et de ses alliés Verts, qui, selon la célèbre formule de François Mitterand, sont composés, sociologiquement, et majoritairement, de vrais petits bourgeois qui pensent en faux révolutionnaires. À sa personnalité ensuite, où l’esprit de synthèse qui, jusqu’ à présent en tout cas, dans l’esprit des français, apparaît plus comme la soumission à des rapports de forces politiciens interne à son camp, que la marque d’une réelle volonté de franchir les lignes idéologiques et culturelles qui brident la mise en oeuvre de profondes et réelles réformes de structure. Dans l’état psychologique, moral et social où se trouve la France, je ne vois pas d’autre solution, pour éviter une grave dépression politique aux conséquences incalculables d’ici 2007, qu’un passage en force au sein même de sa « propre famille » politique pour lui imposer un tournant qui la sorte enfin de son tropisme social-colbertiste, pour ne pas dire bonapartiste. Les positions de Cambadélis, qui ne cesse de cibler la ligne Valls-Macron, et la nature des débats au sein du PS, l’opportunité ou pas de primaires, ne lui laissent pas d’autre choix. Mais n’est-il pas déjà trop tard?
Mots-clefs : Hollande, Social libéralisme, Times, Trierwieller, Valls
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POLO
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Pragmatiquement, Hollande s’est abondamment servi des relations et du carnet d’adresse d’une journaliste de Match qui fait parti d’un groupe ou d’anciens Ministres de gauche et de droite peuvent aussi faciliter les contacts utiles.
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Ingrid
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FH s’est servi de VT pour tout; et en premier lieu ( alors que nous savons qu’il fricotait déjà avec JG; et sans doute avec quelques autres à Paris ou en Corrèze d’ailleurs ) pour avoir un certain statut social pour la campagne, puis sa mandature:
des Français conservateurs ( à droite comme à gauche ) n’aurait pas voté pour un homme célibataire.
Quand on repense à ses mensonges tels ‘quand on rencontre une femme comme VT, on ne laisse pas passer sa chance’ !
Cet homme est faux, c’est une vraie couleuvre….
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Polo
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Ce sont les vipères qui piquent.
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claude
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les hommes ont les femmes qu’ils méritent
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