Mandatory Credit: Photo by Richard Young/Rex (100574d) David Bowie. Festival de Cannes – 1983
Je ne pouvais pas mieux écrire:
Un ancien président de Radio France s’insurgeait courageusement, ce matin, sur Facebook, contre le traitement réservé par France Inter à la disparition de David Bowie (plus de la moitié de la durée de la séquence 8- 9 h) et la place disproportionnée que cet événement prenait dans les journaux au détriment d’autres informations plus importantes pour l’humanité, « instance parmi d’innombrables autres de l’invasion de l’actualité « réelle » par ce qu’on appelait à juste titre les « variétés »… Et pour être clair, je suis tout à fait d’accord à ce qu'(on) lui fasse à partir de 9h10 la place que mérité ce grand chanteur dans une émission précisément consacrée à la culture, et notamment aux variétés. Mais dans les « journaux », non, non et non! On informe et on passe à autre chose!
1. L’Arche, notre dernier invité de 2015: audit positif. Le signal pour une meilleure reconnaissance ? Après le conte oriental du Racing, qui ne fut qu’un mirage, règlement de compte à l’Australienne au RCNM ? Journalistes, réseaux sociaux et traitement de l’information. Il est compliqué de s’y retrouver, mais c’est bien la fin d’un monopole des journalistes…
1/ Election de Carole Delga à la région: Alary nommé pigeon-voyageur… 2/ A Narbonne, le maire envoie une première missive à la nouvelle présidente de région… un listing d’incohérences.
D’ici quelques années, verra-t-on des bus décharger leur horde de touristes, appareils photo autour du cou, devant le Bataclan ou les anciens locaux de Charlie Hebdo ? Au Rwanda, à Dallas, à Tchernobyl, et bien sûr à Auschwitz, c’est déjà le cas. Ce tourisme ni vraiment mémoriel, ni totalement macabre est admirablement décrit dans ce reportage de Philippe Pujol publié par le site suisse d’information et longs formats Sept.info en septembre 2015.
Fin de match entre Rocky Elsom et l’équipe constituée de chefs d’entreprises, de dirigeants sportifs, d’hommes politiques et de journalistes locaux qui voulaient (veulent toujours!), quoi qu’ils en disent, le virer d’un club dont il possède pourtant plus de 90% des parts. Une équipe qui croyait détenir son joker financier, une sorte de « mystificateur » à l’étrange pedigree, mis sur le marché par un ancien président du RCNM, et présenté par son « comité de parrainage » comme un « émir » du Qatar possesseur de « fonds » richement dotés en pétrodollars, dont j’avais, ici-même, pourtant, dans mon premier billet consacré à ce fantaisiste conte oriental, montré à quel point il était aussi crédible qu’un chameau s’exerçant au patinage artistique.
Me 22.1.2025 Cinéma. Dimanche, à 15 heures, ai vu, au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne, le dernier film de Walter Salles : Je suis toujours là. Un grand film qui m’a incité à […]