Nous avons sur le territoire du Grand Narbonne, avec Orano Malvési, une des cinq usines au monde de raffinage et de conversion du yellowcake sous la forme de tétrafluorure d’uranium. Elle est de ce fait la porte d’entrée du potentiel de production d’électricité décarboné dont dépend en partie l’avenir climatique de notre planète. Toutes les études disponibles montrent en effet que la baisse du réchauffement climatique ne peut pas être assurée sans une combinaison optimale associant énergies renouvelables (ENR) et énergie nucléaire (EN).
Feu le crématorium de Montredon ! Mort avant terme dans les bras de Monsieur Mellet, son maire d’alors qui, en sus, vice-présidait et veillait au Grand Narbonne à l’avenir et aux intérêts du service communautaire des pompes funèbres.
L’information n’est pas parvenue, à ce jour il me semble, jusque dans les rédactions audoises de l’Indépendant – ou l’aurais-je inconsciemment « manquée » ?! –, alors qu’elle me semble pourtant d’un très grand intérêt politique régional et local. Qu’on en juge !
Dans une lettre au vitriol adressée le 4 février à Carole Delga, l’avocat toulousain Christophe Léguevaques attaque le contrat de concession que la Présidente de la Région Occitanie a signé, juste avant Noël, avec la société d’économie mixte Nou Vela * pour gérer les futures installations portuaires de Port-La-Nouvelle (PLN) ; et ce pendant 40 ans.
Ce matin, elle a demandé à sa mère de soigner sa coiffure ; de lui faire deux longues nattes pour enclore son visage et lui donner cet air de petite fille « russe » que nous aimons. Sa peau souple et claire paraît ainsi encore plus fraîche et ses grands yeux gris semblent beaucoup plus lumineux. C’est ainsi qu’elle nous est apparue, samedi, sur le coup de midi, dans l’encadrement de la porte d’entrée.
Dans l’actualité, une chose étonne et me ravit : la condescendance mêlée de sarcasme et de mépris des spécialistes du bavardage politique : journalistes, politologues, intellectuels « engagés », notamment, envers un Premier Ministre, dont les exposés et propos publics, sont par eux jugés trop simples, trop clairs, trop serrés, trop tranchés, trop « accentués » et donc forcément très nuls ; à l’inverse des leurs, brillamment lisses, fumeux et dérisoires, quant ils ne sont pas franchement insultants. Car dans ce pays et pour ces maîtres en éloquence, comme on le sait, l’obscur, le négligé et le pathétique, en tous domaines, sont les incontestables attributs de l’élégance et de la vérité…