Chronique de la Grande Région LRMP. Régionales2015: Jean Pierre Grand, de Frêche à Saurel…

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Laurent Dubois a recueilli, le 20 août, dans son blog Midi-Pyrénées Politiques,  les propos du sénateur « Les Républicains » de l’Hérault Jean Pierre Grand sur la pré-campagne des Régionales. Entretien dans lequel il nous informe qu’il est évidemment contre l’idée saugrenue et politiquement déplorable d’une présidence déléguée – je me suis déjà et amplement exprimé sur le sujet pour ne pas y revenir encore une fois – et que le Sénat ne votera pas la proposition de loi promise par Valls à cet effet si elle venait dans le débat parlementaire. Soit! Mais franchement rien de bien surprenant dans cette annonce.  Ensuite et surtout, il persiste dans ces attaques contre le candidat de son parti Dominique Reynié au motif qu’il « se méfie des élus locaux parce qu’il ne les comprend pas.

Chronique de Narbonne. RCNM: Rocky Elsom 5 / Mouly-Malquier 0…

 

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Ce matin, jour de marché, c’est aux Halles que j’ai pris mon café. Chez Belzons! J’ouvre l’Indépendant, et vois un article pleine page illustré d’une photo de  la première ligne municipale. Enfin presque! Manquait Delpoux, l’expert. Le sujet? l’avenir du RCNM. Juste après que Rocky Elsom, la veille, ait envoyé dans les « 10 mètres » notre équipe du Palais.

Chronique de Narbonne. Port la Nautique: « le Pavillon et la courtoisie » de Vincent Pousson

     

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Très bel article de Vincent Pousson , une référence, sur « le Pavillon » de la Nautique, dans son tout aussi remarquable blog. À lire dans son intégralité!

Extraits: Sur le lieu:

Une bonne nouvelle est venu gentiment réveiller ce lieu un rien décati. La concession de l’unique bistrot du port a été confiée à David Moreno, figure de la gastronomie languedocienne, amoureux transi, romantique, de ce bout de Narbonnaise. Et, en avril dernier, pour fêter le printemps, Le Pavillon (c’est le nom de l’établissement) a réouvert ses portes. Succès immédiat. Il faut dire que l’oiseau n’est pas tombé de la dernière pluie, il sait ce que c’est qu’un beau bouclard, et là, il en a fait un très beau. Oh, pas dans le style tapageur, provincial à outrance, « déco », qu’on repère si souvent dans les environs. Du modeste, du sentimental, chargé de souvenirs patinés, chinés, comme de vieilles tables de formica. En fait, quand on entre au Pavillon, on a l’impression que le lieu a été conservé intact, comme lors du dernier passage de Lino Ventura et Michel Constantin. On s’y sent bien.

Chronique de Narbonne. Rocky Elsom seul « capitaine » du RCNM!

Qui ne se souvient des réunions et exigences  formulées par Didier Mouly auprès de Rocky Elsom le « patron » d’un RCNM alors en difficultés. La presse convoquée pour en faire des « échos » les rapportait dans un contexte psychologique et humain où, comme toujours, des intérêts locaux et personnels n’ayant pas grand chose à voir avec ceux, sportifs, du club,  se croisaient avec ceux, politiques, du maire de Narbonne. Il était notamment question d’imposer à Rocky Elstom l’ouverture du capital de son entreprise à des « narbonnais », afin de leur donner une minorité de blocage. Comme si, dans le monde d’aujourd’hui, un élu pouvait, même dans ce domaine où les collectivités locales mettent des moyens importants aux services de clubs sportifs, intervenir dans la gestion d’une entreprise privée pour y imposer son « schéma d’entreprise ».

Chronique de Narbonne l’été. Le café de la Paix, à Gruissan.

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C’est un café, un vrai : il en a l’air et la patine. Le temps ne semble pas avoir de prise sur ses murs. Il résiste aux paillettes et paillotes à la mode, leurs sonos abrutissantes et leurs tarifs ahurissants. Son intérieur est celui d’un bateau, sobre. Comme ceux qui naviguent loin. Sa terrasse, à angle droit, s’étend sur les trottoirs de la place du maréchal Joffre, qui ouvre sur la rue de la République, en face, et sur la Grande Rue, côté droit, qui mène d’un trait, à l’église du village. C’est dans son prolongement : rue Espert, à une dizaine de mètres environ, que l’on trouve son concurrent : le Joffre. Tout un programme. Un condensé symbolique de la grande histoire… Ce café de la Paix est une de mes querencias. Un de ces lieux sûrs où je me « sens » immédiatement bien. Serein, disponible, attentif et ouvert aux « mille bruits » de la vie. La querencia, pour celui qui l’ignore, est ce lieu dans l’arène où le « toro » est en confiance et sécurité ; celui, invisible, qu’il s’invente comme un refuge et dans les limites duquel le torero ne peut  l’affronter qu’au risque d’un coup de corne fatal. Pierre Veilletet a écrit un très joli livre, profond et sensible, sur les siennes.

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