Après le temps des promesses de campagne, voilà celui de l’exercice du pouvoir. L’occasion de vérifier la « justesse » – absolue ou relative – du théorème du Bourget énoncé par François Hollande à propos de la « Finance et des Riches » – les majuscules sont volontaires! Le cœur des préoccupations du nouveau gouvernement grec étant le sort de sa dette publique : il exige – ou exigerait, attendons encore un peu pour connaître ses intentions réelles, son annulation partielle. En sachant que l’État français – et non la Finance en général – est exposé à hauteur de 40 milliards d’euros – hors secteur bancaire – et l’Allemagne, à 60 milliards environ».
Dans un entretien au Midi Libre des plus confus, et dont on ne tire aucune conclusion constructive, Didier Mouly fait l’amer constat que le RCNM prend l’eau, que les « australiens » ne jouent pas le jeu et que leur communication est nulle. Avec ce genre d’analyses nous voilà en effet bien avancé! Bref! le maire tire des rideaux noirs sur les murs « de son petit salon anglais », présenté à toute la presse, hier, comme le lieu de toutes les coopérations financières entre le monde de l’entreprise, celui du sport et son institution; un salon pour d’entrepenants « courtiers » qui, aujourd’hui, font, hélas, plutôt figure d’agents des pompes funèbres. Plaisanterie mise à part, l’état du RCNM mérite mieux que ce genre de propos à l’emporte-pièce, qui n’aura d’autres conséquences que celle d’aggraver sa situation sportive et financière. Il est temps, me semble-t-il, de s’interroger plus sérieusement sur ce qu’il est possible de faire, et à quel niveau de la compétition, avec les ressources de ce territoire, au lieu de courir après une « image de légende », dont on devrait savoir qu’elle n’appartient plus désormais qu’à l’histoire…
Dans ces Contre-Regards radiophoniques, et cette première partie, il est question des élections régionales 2015, du Sénat et de la réforme territoriale …
Dans ces Contre-Regards radiophoniques, et cette deuxième partie, il est question de la coopération entre les deux CCI de Narbonne et Béziers et du Palais du Travail de Narbonne …
Edwy Plenel est reçu sur tous les plateaux de télévision. On ne voit plus que sa moustache à la Léon. Sur Soir 3, vendredi, le présentateur lui demande si, pour lui, les musulmans sont des cibles . Des cibles… Quand il y a en eut 17: journalistes, policiers et juifs abattus pour venger le prophète. Indécent! Et Plenel d’accuser la laïcité, « agressive » et stigmatisante, qui serait responsable des « violences » physiques et verbales des jeunes français de culture musulmane. Attaque de la laïcité suivie de tout un discours misérabiliste sur l’immigration maghrébine. Sa thèse, vieille et permanente, comme son trotskisme culturel revendiqué : en agitant les querelles religieuses, on détourne l’attention des enjeux politiques et sociaux. Rosa Luxembourg n’écrivait-elle pas déjà : « La guérilla permanente contre les prêtres est pour la bourgeoisie française l’un des moyens les plus efficaces de détourner la classe ouvrière des questions sociales et d’étouffer la lutte des classes. » Tout, chez lui, est donc compris comme le résultat d’une situation économique et sociale donnée, ou plutôt subie. Mais il faudrait qu’il nous explique alors pourquoi les immigrations précédentes, l’espagnole – j’en viens – et la portugaise, qui n’ont pas bénéficié de logements, même en des quartiers isolés – dans ma petite ville, nous étions concentrés dans le quartier le plus délabré et vivions dans des quasi-taudis – ni de la Sécurité Sociale pour les artisans, ni RMI, ni RSA, ni CMU …, il faudra donc que Monsieur Plenel nous explique alors pourquoi les fils et filles de ces immigrés n’ont perpétré aucune violence armée, symbolique ou verbale envers les autorités de la République: éducatives ou sécuritaires, notamment. De ma seule et petite histoire, je retiens que me fut toujours enseigné par mes parents, dès mon plus jeune âge, que nous devions accepter la règle commune, à commencer par l’usage de la langue, et, en toutes circonstances, « faire au mieux ». À l’école, dans son entreprise, son syndicat , son parti… La laïcité, contrairement à ce que prétend monsieur Plenel, ne nous ne l’avons donc jamais perçue comme « agressive ». Prétendre aujourd’hui qu’elle l’est alors qu’elle vient de subir une agression d’une violence inouïe, c’est nous – m’ – en faire supporter la responsabilité. Et cela, je ne peux pas le supporter! Et à défaut de ne pouvoir le lui dire de vive voix, il m’aura au moins permis de l’écrire; et à certains lecteurs de partager un peu de ma colère à l’écouter ainsi discourir…
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