Pierre Jacquemain n’a pas les « mains pures » | Contre-Regard.com
Ce vendredi matin, le journaliste vedette de RMC, le sieur Bourdin, recevait un personnage inconnu de ses auditeurs et du grand public, un dénommé Pierre Jacquemain, qui fut un temps le conseiller de Myriam El Khomri. Un inconnu qui ne devrait plus l’être, les grands médias se l’arrachant pour l’entendre promouvoir son bouquin : « Ils ont tué la gauche » (Ed. Fayard); un livre dans lequel il raconte que la loi Travail a été conçue puis pilotée par Matignon et Emmanuel Macron.
En « Occitanie », l’omerta est enfin rompue et la Vice-Présidente madame Négrier enfin « démissionnée »! | Contre-Regard.com
Dans un récent billet : « Occitanie et justice de classe », je faisais observer, dans un climat médiatique marqué par une bienveillante et opportune « omerta » estivale , ceci : « Il est une « jurisprudence » de fait qui conduit tout ministre du gouvernement mis en examen – et donc toujours présumé innocent – à démissionner. Une jurisprudence conforme au minimum d’éthique que l’électeur que je suis souhaiterait voir appliquer à tous les niveaux de notre administration publique : communes, intercommunalités, départements, régions, et à tous les membres de leur exécutif, notamment.
Ces micro-évènements qui font l’absurdité ou la beauté du monde | Contre-Regard.com
je suis de ceux qui vibrent au micro-évènement d’une hirondelle posée sur un fil électrique à basse altitude, environ trois mètres, et qui se laisse approcher jusqu’à voir sa gorge blanche frémir sous un vent d’ouest de fin d’après midi, sur l’ancien chemin de halage du canal des Deux-Mers, au Somail, ce superbe hameau situé à quelques kilomètres seulement de Narbonne, malheureusement amputé de valeureux platanes rongés par une maladie incurable, qui jusqu’alors offraient aux promeneurs leurs ombres protectrices les jours d’intenses et brûlantes lumières d’été.
« Occitanie » et justice de « classe » | Contre-regard.com
Il est une « jurisprudence » de fait qui conduit tout ministre du gouvernement mis en examen – et donc toujours présumé innocent – à démissionner. Une jurisprudence conforme au minimum d’éthique que l’électeur que je suis souhaiterait voir appliquer à tous les niveaux de notre administration publique : communes, intercommunalités, départements, régions, et à tous les membres de leur exécutif, notamment.