Ces socialistes sont décidément impayables. Dimanche, par la voix d’Éric Andrieu, député européen et ancien premier secrétaire de la fédération de l’Aude, en présence du secrétaire de la section de Narbonne, la procédure de désignation de leur candidat pour conduire leur liste aux prochaines élections municipales était clairement exposée devant la presse : primaires internes ; ainsi que leur stratégie : alliance avec les partis « amis » (je note au passage qu’Éric Andrieu n’a pas intégré l’idée qu’il n’y avait plus de « partis amis » : les anciens souhaitant sa « peau » ; que le PRG n’existait plus et que ses élus locaux étaient plutôt des Marcheurs décomplexés).
Indignation générale dans les médias et sur les réseaux sociaux : Macron aurait insulté les Français ! « Des Gaulois réfractaires aux changements ! » Ah bon ! Une insulte ? la France n’est plus la Gaule, certes, mais comme disait les Hussards, ils étaient nos ancêtres, non ? Une légende, me dira-t-on ; mais qu’importe j’en fais ma vérité du moment.
J’ai toujours vu Hulot au bord des larmes. Comme ses admirateurs l’étaient aussi devant la « télé » à regarder ses belles images. Belles et tristes à la fois ! Édifiantes, il est vrai. Notre planète va mal, et elle souffre tellement, qu’à sa surface, la vie : la nôtre, menace la sienne. Oui, Nicolas ! l’espèce humaine est dévoreuse d’espaces, omnivore et proliférante. Il était bien – il est toujours – que cela soit dit.
Cet élu « Vert » héraultais de la majorité régionale constituée par Carole Delga, Christian Dupraz, à raison : il est plus responsable, d’un point de vue écologique, de rester chez soi, à Perpignan, à glander sur son canapé, que d’aller bosser à Narbonne, Béziers ou Montpellier, en prenant le TER.
En pleine semaine d’un mois d’août caniculaire, madame Delga et monsieur Saurel se chauffaient sur les ondes, tandis que le pékin moyen, résident permanent ou pas de cette région au nom exotique, faisait trempette dans ses eaux ou vivait planqué comme une taupe. L’objet de cette estivale algarade ?