Hier, Denis était avec des amis, au Café de la Paix¹ , à Gruissan. « Un bien bel endroit où quelques papets jettent l’ancre l’après-midi, dans le flot des touristes », note-t-il ! Hasard (? !), ce même jour, mais en soirée, j’y étais aussi…
Vous pouvez agrandir l’image en cliquant dessus. Tous les croquis et caricatures de Denis sont disponibles en cliquant sur: Denis Carrière, en rouge, en haut et à gauche.
Il est une « jurisprudence » de fait qui conduit tout ministre du gouvernement mis en examen – et donc toujours présumé innocent – à démissionner. Une jurisprudence conforme au minimum d’éthique que l’électeur que je suis souhaiterait voir appliquer à tous les niveaux de notre administration publique : communes, intercommunalités, départements, régions, et à tous les membres de leur exécutif, notamment.
«Je vais aller doucement et je me répéterai s’il le faut»[1] a annoncé en préambule de sa dernière conférence de presse le tout nouveau président de la SASP du RCNM, Bernard Archilla. Ce qui est exact… pour la répétition bavarde! Jamais, en vérité, dans l’histoire récente de ce club il n’y eut autant de petites messes informatives depuis son installation aux commandes du club ; à l’inverse de son prédécesseur, qui lui n’en faisait pas, mais pour un résultat tout aussi équivalent. On n’y apprend rien d’autre, en effet, qui ne circule depuis des lustres autour des « tonneaux des Halles » et de certaines terrasses de cafés. Résumé : «Des règlements et engagements financiers ont été pris juste avant notre arrivée.
J’ignorais que la petite ville voisine de Coursan, qui, traversée par la RN 9 et le fleuve Aude était moins connue jusqu’ici pour son riche patrimoine historique et culturel que pour ses inoubliables embouteillages estivaux et ses mémorables inondations hivernales, possédait une Maison du Tourisme et de l’Information. Depuis hier, les voilà toute deux désormais entrées dans l’histoire culturelle nationale par la voie d’une dépêche signéeOdile Morain, dans Francetvinfo – Culturebox. Un texte plat comme une brème – dans lequel une grossière faute de grammaire donne du crédit à la dégradation généralisée de la prose journalistique –, qui nous informe que le photographe Philippe Kandel avait été censuré « suite à la plainte d’élus et de personnels administratifs de la mairie… ».
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]