C’est confirmé, Serge Brunel quitte ses fonctions de DGS du Grand Narbonne, pour celles de l’Agglomération de Carcassonne. Et ce d’un commun accord avec son président Jacques Bascou, selon la formule consacrée. Le désir de se relancer sur un autre territoire et dans un autre contexte politique et personnel sont nécessaires quand on exerce ce genre de responsabilités. Pour soi, comme pour l’institution que l’on sert. De ce point de vue, la décision de Serge Brunel est conforme à une éthique professionnelle rarement appliquée dans les collectivités locales. Il semblerait néanmoins que des problèmes de nature disons plus « fonctionnels » soient aussi à l’origine de son départ. Notamment la présence d’un Directeur de Cabinet qui, à ce niveau de responsabilités et à l’interface d’une gestion purement administrative et d’une gestion politique de l’institution, n’est pas sans causer de sérieuses « frictions » – au sens mécanique du terme -, je peux en témoigner. On peut aussi se demander si la nouvelle organisation des services, voulue et quasiment pilotée par Jacques Bascou, répondait aux voeux de son DGS. Quoi qu’il en soit, c’est une nouvelle ère pour le Grand Narbonne qui s’est ouverte depuis les dernières élections, elle impliquait aussi un changement dans son mode de gestion « technique ». C’est fait, ou plutôt ce sera fait quand le nom du successeur de Serge Brunel sera connu…
Avec Jacques Baillat son Président et Guillaume Masson son secrétaire, l’association « J’aime Narbonne » se positionne et entend rassembler les citoyens pour l’élection municipale de 2020. Ce qui semble irriter une autre association, concurrente sur le même créneau.
Météo France nous bassine régulièrement avec ses « épisodes » nuageux ou neigeux, mais là, avec « sa mise en place d’un épisode cévenol » le sommet de la crétinerie est désormais atteint. Une crétinerie qui se propage à la vitesse de la lumière et atteint toutes les couches de la société de communication jusqu’aux services de presse des collectivités locales qui, par paresse ou illettrisme, reproduisent ses communiqués météorologiques. Le mot épisode désigne, en effet, précisément une action incidente dans un ouvrage d’imagination en vue d’y jeter de la variété.
Quel nom pour la nouvelle Région ? Votez ! C’est le concours lancé par la Dépêche, l‘Indépendant et Midi Libre, notamment. L’Express déjà l’avait fait, ainsi que Gauthier Langlois, mon ami blogueur de Villemoustoussou : ici sur son site ( remarquable!). J’en avais tiré un billet (1) qui montrait toute la difficulté de l’exercice. Et, sur d’autres supports, j’avais notamment critiqué un fort courant d’opinion en faveur de « Occitanie », proposition illogique et incohérente. Ses propres partisans concédant que ce territoire – qui n’a jamais existé sur le plan administratif – couvre une zone beaucoup plus large que la future collectivité, allant de l’Aquitaine à la Provence, et même jusqu’aux vallées italiennes du Piémont.
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]