J’allais l’oublier. Merci Maxime Tandonnet de nous rappeler cet anniversaire.
« Je ne suis pas bien sûr qu’on enseigne encore cette belle date dans les collèges et les lycées. Je vais la tester ce soir sur mes enfants… Le 4 septembre 1870, la République est proclamée à l’Hotel de Ville par une poignée de grands Messieurs, Jules Simon, Jules Favre, Léon Gambetta, Jules Ferry. Elle est d’abord un corps de valeurs: l’intérêt public avant tout, le désintéressement, la volonté générale, le rejet de toute personnalisation du pouvoir, culte de la personnalité, des privilèges, jeux courtisans, histoires de famille en politique, respect du peuple et suffrage universel comme unique source de l’autorité… La République vécue non pas comme l’antithèse de la monarchie, mais comme un mode de comportement dans la vie publique, ne serait-elle pas notre unique planche de salut et espoir de sortir du marasme actuel?… »
Parce que les mots me manquent aujourd’hui pour exprimer mon sentiment devant les images de violences venant d’Israël et de Gaza, et leurs répercussions en France même où des extrémismes de toute espèce les instrumentalisent pour des fins politiques et communautaristes, ces mots là seulement écris l’année dernière après queRodolphe Burgeret ses musiciens, Ruth Rosenthalet Rayess Beknous aient emmené « dans un ailleurs où se noue, dans le plus grand secret , ce lien fraternel auquel aspirent tous les êtres épris de justice et de paix. »
Hier soir, à la Guinguette de Tournebelle , superbe moment musical. Joël ALLOUCHE Quintet y donnait concert et nous offrait un univers sonore inspiré par celui qui imprima dès les années 60 un nouvel élan à son instrument : Tony Williams.
Pendant cette dernière coupe du monde de football qui ce sera intéressé à la devise « frappant » le drapeau brésilien : Ordem e progresso (Ordre et progrès) ?
Elle est allée dans sa chambre. Elle est revenue. Elle tenait un disque. Marcel Amont. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]